Le récit poignant d'Assadoullah
La terrifiante rencontre
Lundi soir, alors que la ville lumière de Bruxelles poursuivait ses activités nocturnes habituelles, une ombre sombre s'est abattue. Assadoullah, un livreur de repas, s'est retrouvé malgré lui au cœur de cette tragédie. Alors qu'il récupérait une commande près du boulevard d’Ypres, son regard croise celui d'un homme en veste orange, accroupi, en train de charger une arme de guerre.
Une nuit de terreur
Continuant sa tournée avec une innocence professionnelle, Assadoullah ne se doutait pas de l'horreur qui allait suivre. "L'homme en gilet orange, cagoulé, a soudainement ouvert le feu. La scène était chaotique, effrayante", raconte-t-il, sa voix tremblante. Choqué, il décide d'interrompre ses livraisons, cherchant un refuge loin de cette folie.
Les séquelles d'une nuit
Bien que sain et sauf physiquement, les blessures mentales d'Assadoullah sont profondes. "Les images de cette soirée hantent mes nuits. C'est une peur que je n'avais jamais ressentie auparavant", confie-t-il. Face à de tels événements, le traumatisme psychologique est souvent aussi dévastateur que les blessures physiques.
Soutien et solidarité
Le Centre de crise national, conscient de l'impact psychologique des attaques, a mis en avant le service Télé-Accueil. Ce service offre un soutien inestimable à ceux touchés, directement ou indirectement, par la tragédie. Dans ces moments sombres, la solidarité et l'entraide sont plus essentielles que jamais.
La résilience de Bruxelles face à l'adversité est une leçon pour nous tous. Le courage d'Assadoullah à partager son histoire est un rappel que, même dans les moments les plus sombres, la lumière peut briller à nouveau.
Référence : Blog ActuBruxelles, 21 octobre 2023
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